Dans un parking d’habitation, j’ai un local vélos avec une grande surface. L’article 87 nous dit « les usagers n’aient pas à parcourir : plus de 25 mètres pour atteindre l’escalier s’il n’y en a qu’un ou s’ils se trouvent dans une partie de l’établissement formant cul-de-sac. » Est ce que dans le local vélos cet article s’applique (j’ai plus de 25 mètres à parcourir entre l’intérieur du local vélos et l’escalier). 

Afin d’installer un EAS dans un centre de formation, est-il possible de connaitre le descriptif technique exact concernant l’électricité dans un EAS. A ce jour je ne trouve pas les informations précises hormis une lumière d’ambiance et de sécurité à l’intérieur, Faut-il un dispositif extérieur lumineux de sécurité au-dessus de la porte d’accès à l’EAS ? Concernant l’interphone /téléphone intérieur de l’EAS, à quoi doit-il être relié ? 

Dans le cadre d’aménagement de boutiques de prêt à porter dans des locaux commerciaux existants (ERP de type M et de catégorie 5), est-il à prévoir des portes et parois CF entre les espaces de réserves non accessibles au public et la surface de vente ? Je n’ai pas bien saisi à quoi correspondent les réserves et réserves d’approches mentionnées dans l’article M 47, est-ce que l’espace de stockage d’un magasin de PAP est concerné et est-ce qu’un ERP de catégorie 5 est soumis à la réglementation ? 

Je travaille au sein d’une entreprise qui accueille exclusivement des travailleurs (type bureau) et qui possède environ une centaine de sites en France. En tant que responsable de la sécurité de ces sites, je me questionne sur l’obligation d’installer des dispositifs tels que des flashs lumineux ou des détecteurs de vibrations en cas d’alarme incendie pour les personnes malvoyantes. Si cette obligation existe, je souhaiterais connaître les emplacements précis où ces dispositifs doivent être installés, que ce soit uniquement dans les toilettes ou également dans les couloirs. Il est important de noter que notre entreprise accueille quotidiennement des personnes externes lors de séminaires, de rendez-vous ou d’entretiens, ce qui signifie qu’elles sont considérées comme faisant partie du public puisqu’elles ne sont pas familières avec les lieux. 

Nous sommes sur un bâtiment logements / foyer, accueil personnes en autonomie (33 pers). Le bâtiment dispose de 270m2 de parties communes. Nous réalisons l’isolation extérieure des façades. Le bâtiment est classé habitation 2éme famille. Donc non assujetti à l’IT249. On nous demande toutefois, un traitement par bande coupe-feu. La question est : doit-on considérer ce type de bâtiment en ERP ? 

Je suis gérant d’un hôtel restaurant, classé ERP5 ON.  Lors la dernière commission de sécurité, le préventionniste a prescrit la pose d’une porte coupe-feu, dans un couloir (2m20 de largeur, 2m50 de hauteur) desservant uniquement une salle de stockage divers (mobilier, linge…). Le respect de cette prescription conditionne la levée de l’avis d’exploitation défavorable que ladite commission a remise au maire de ma commune.  J’envisageais de faire poser cette porte (porte EI30+cloison Placoflam EI60+ferme porte EN1154) par le service technique de l’établissement (pour une durée de chantier de plus ou moins 3 jours) et de tenir les tous les justificatifs (factures d’achats, méthodes de pose, certificats de tenue au feu, rapport photo de déroulement du chantier, etc) à la disposition de la commission de sécurité.  Malheureusement, on me demande un certificat d’un bureau de contrôle pour « valider « l’installation de cette porte.  Les bureaux de contrôle consultés me proposent d’établir un RVRAT en bonne et due forme (visite avant, pendant et à la fin du chantier), avec des devis similaires de plusieurs milliers d’euros, et des délais de visite initiale à plusieurs semaines.  Je m’étonne de la lourdeur, du coût et des délais engendrés par cette validation, pour un chantier limité et court.  Un RVRAT est-il obligatoire ? A défaut, comment attester de la conformité de la pose de cette porte ? 

Pouvez-vous me renseigner sur la réglementation applicable aux baies d’accès pompier et plus spécifiquement sur les caractéristiques des locaux y donnant accès ? J’ai bien pris connaissance de l’arrêté de 1992, mais il ne précise pas si ces locaux peuvent accueillir des travailleurs (bureaux) et être encombrés (mobilier). Du coup, également, je présume que ces bureaux ne peuvent pas être fermés à clés ? 

J’interviens dans le réaménagement de locaux de travail existant. Ce bâtiment est composé d’une partie en simple rez de chaussée qui a été agrandie par l’adjonction d’une 2ème partie à étage. Ce bâtiment semble fonctionner comme un seul établissement mais il en abrite 2. Pour faire simple, un établissement occupe tout le rdc et l’autre l’étage. Sur les 2/3 de la partie en simple RDC se trouve un local de stockage. Est-ce que règlementairement les parois verticales de ce local doivent assurer un degré coupe-feu de 1h par rapport à l’établissement du RDC. Est-ce que cette contrainte nécessite du coup une stabilité d’une heure de la structure du local de stock ? Est-ce que la toiture du local stock doit avoir un degré coupe-feu par rapport à la façade de l’héberge de l’étage ? Le cas échéant de quelle profondeur par rapport à cette héberge ? 

Dans notre établissement scolaire (primaire + collège + lycée), les bâtiments sont classés R + hébergement 2ème  cat ; R 3èm cat ; N 3ème cat ; … Certaines salles de classes (30 élèves) sont équipées de ferme porte, or la plupart des gens (profs) bloquent les portes en position ouvertes. Ma question est : est-il obligatoire d’avoir des fermes portes des salles de classe ? De manière générale : où puis-je avoir l’information qui m’aiderait à déterminer quelles portes doivent être équipées ?