Faut-il un plancher coupe-feu entre un commerce (ERP de 5ème catégorie) implanté au rez-de-chaussée d’un bâtiment à usage principal d’habitation et les logements tiers qui occupent les étages ?
-Un collectif d’habitation 2e famille h>8m (R+3) peut il être desservi par un escalier à l’air libre ?
Nous sommes architectes et nous accompagnons une maîtrise d’ouvrage souhaitant créer un centre de soins pour faune sauvage dans un bâtiment existant (90m²).Le bâtiment fait moins de 8 m de haut et se compose d’un rez-de-chaussée + combles aménagés. Les usages sont les suivants : des espaces de soins et des bureaux pour le fonctionnement du centre de soins déclaré en code du travail de – de 20 personnes. Une zone d’accueil est prévue pour le public (2 personnes) sur rendez-vous, pour le dépôt des animaux blessés (ERP 5e catégorie, type W).Est-ce que les espaces de soins et de bureau sont considérés comme un tiers par rapport à l’ERP ? Faut-il isoler de façon coupe feu les deux espaces ? Un escalier permettant d’accéder aux bureaux à l’étage débouche dans l’accueil ERP, doit-il être encloisonné ?
Quel est l’isolement requis entre un hall d’entrée et un bureau gardien dans une résidence étudiante classée en logement-foyer ?
On se demandait si dans les zones CO25, il pouvait y avoir des contraintes feux sur les portes qui se trouvent à l’intérieur de cette zone.
Quel est le degré coupe-feu d’une porte d’une issue de secours donnant sur l’extérieur en rez-de-chaussée ?
Pour les ERP, l’article R143-7 alinéa 2 du code de la construction et de l’habitation stipule : « Tout établissement doit disposer de deux sorties au moins. » Est-ce vrai quel que soit l’effectif de l’établissement ?
Immeuble d’habitation RdC+4 niveaux muni d’un ascenseur. La porte du bas de la cage d’escalier encloisonné ouvre vers l’intérieur de la cage. Est-ce réglementaire ?
Je vais exploiter un établissement recevant du public (ERP) de type hôtel 4ème catégorie dans un bâtiment en R+2, mais le deuxième étage sera totalement fermé au public et inutilisé. Mon exploitation se fera uniquement sur le rez-de-chaussée et le premier étage. D’après l’article DF 4 et DF 6, si les locaux réservés au sommeil sont situés dans un bâtiment d’un étage sur rez-de-chaussée au plus et pourvus d’un ouvrant en façade, le désenfumage des circulations horizontales n’est pas obligatoire. Dans mon cas, puis-je considérer que mon bâtiment remplit cette condition, étant donné que le deuxième étage est fermé, et ainsi ne pas installer de désenfumage au premier étage si des ouvrants en façade sont présents ? Ou bien le simple fait que le bâtiment soit en R+2, même avec un étage inoccupé, m’impose l’obligation de désenfumage ?
J’aménage un café/restaurant, il s’agit d’un ERP de 5e catégorie type N situé à rez-de-chaussée.Le local est assez profond et les sanitaires, au bout d’un couloir, se trouvent à plus de 10m de la façade. Ils présentent nécessairement un cul-de-sac supérieur à 10m. Suis-je dans un cas où une dérogation est nécessaire ? Il me semble pourtant que c’est une situation assez fréquente en ville. Sachant qu’en tout point de mon restaurant, il y a en revanche moins de 25m à parcourir pour atteindre la sortie.
Sur un bâtiment recevant du public – 50 personnes dans mon cas un dojo d’entrainement, il y a deux issues de secours qui sont des portes 2 battants avec un vantail principal de 90.
Dans les ERP de type R, à titre dérogatoire, une porte d’intercommunication entre deux salles de cours peut être considérée comme une 2° issue de secours pour chacune des deux classes, ce qui est indispensable pour les locaux qui accueillent plus de 19 personnes. Connaissez-vous la source de cette dérogation ?
Je suis architecte. Dans le cadre de la conception d’un ERP (salle polyvalente de 4e catégorie et de type L), le dégagement dans le hall débouche sur un parvis couvert en rez-de-chaussée mais ouvert sur l’extérieur sur 2 de ses 4 côtés.