Au premier étage d’un immeuble ERT se trouve dans un bureau rénové une salle de réunion pouvant accueillir jusqu’à 30 personnes. La porte de ladite salle est une double unité. Cependant, une fois sorti dans le couloir, il n’y a qu’une seule porte de sortie (100 cm) vers les parties communes où le seul chemin d’évacuation est un escalier en colimaçon non cloisonné. L’immeuble est une copropriété. Est-ce légalement suffisant ? 

Dans un établissement d’enseignement R+2 du 1er groupe avec l’absence des locaux à sommeil, il possède des circulations et escaliers à l’air libre, est-il obligatoire d’avoir de protéger ces escaliers par des portes même s’ils sont à l’air libre ? CO54 précise que les portes d’accès doivent répondre aux dispositions de l’article CO 53 (2 & 3).  

Un ERT de moins de 20 personnes et datant d’avant les années 1990 comporte un étage. L’escalier qui mène à cet étage n’est pas encloisonné. En cas d’incendie au RDC, les fumées empêcheraient les agents du 1er d’évacuer en toute sécurité. Question : l’escalier doit-il être encloisonné ? L’employeur doit il en tout état de cause garantir la sécurité de ses agents ? 

Notre établissement va être transformé en traiteur avec aménagement: – d’un magasin, ERP, moins de 30 m2, moins de 10 clients présents simultanément – et aménagement d’un laboratoire traiteur/pâtisserie de 50m2 (ERT) avec une puissance installée supérieure à 20KW. Dans ce laboratoire de cuisine (ERT) il n’y aura jamais plus de 3 personnes y travaillant en même temps. Faut-il équiper le passage entre le magasin et le laboratoire cuisine d’une porte coup feu ? Dans ce cas précis, la législation concernant les portes coupe-feu me semble assez floue.