Nous rénovons un établissement à Lyon. Le 1er étage destiné à accueillir également du public à une hauteur sous plafond de 1,85m actuellement. Nous allons tomber le plafond afin d’arriver aux briquettes et poutre (que nous avons pu apercevoir). 1) existe-t-il une hauteur minimum à avoir ? 2) sommes-nous obligés de mettre un plafond coupe-feu, sachant que nous pourrions en mettre un en rdc, mais qu’il y a des (bureaux ou appartements) au-dessus de nous ?

J’ai travaillé au sein d’un lycée professionnel. Je possédais un bureau que je voulais décorer et apposer des affiches de présentation de mon association. On m’a dit que ce n’était pas possible au vu de la sécurité incendie. On m’a donc fourni des grilles sur pied où j’ai pu fixer mes affiches. J’ai ensuite effectué un stage dans un foyer d’hébergement pour adultes handicapés. Chaque résident possède sa propre chambre, son espace de vie et peut les décorer comme il le souhaite (posters, affiche

Dans le cadre d’une mission d’assistance HSE sur un chantier (chantier clos et indépendant au sein d’une usine en activité), le client (maitre d’ouvrage) nous demande la « délivrance » des permis feu. Cela implique la rédaction, la signature et la ronde de surveillance (3h après). En aucun cas le maitre d’ouvrage ne signe le permis feu, est-ce qu’en tant que prestataire extérieur nous pouvons ou devons prendre la signature de ces permis feu ?

Notre bureau de contrôle et la direction des services techniques de l’établissement d’enseignement (R 2) où je travaille ont une divergence d’interprétation entre le CO 54 et le CO 53 (§§2 et 3). Le bureau de contrôle nous demande une porte PF°1/2h sur l’accès de la cage d’escalier à l’air libre sous prétexte d’éviter le passage du feu depuis l’intérieur du bâtiment vers l’escalier. Ma direction des services techniques ne veut pas installer de porte PF°1/2h car ce n’est pas fondé.