Si l’entrée/sortie principale d’ un ERP est constituée d’une porte à 2 vantaux. Si nous voulons que les deux vantaux soient utilisés quotidiennement, ils peuvent être équipés chacun d’une barre anti-panique. Mais si nous ne voulons utiliser qu’un vantail sur deux en utilisation normale, on peut avoir un vantail avec une barre anti-panique mais pour l’autre, faut-il choisir entre une barre anti-panique 3 points et une crémone pompier ? Est-ce au choix ou une norme en fonction de l’effectif ?

J’ai un projet de local de vente d’une surface de 450 m². Le bâtiment est en cul-de-sac d’une profondeur de 31 m, il est entouré de bâtiments et ne dispose que de deux grandes entrées de 4 m côte à côte sur la seule façade de 14,6 m ayant possibilité d’ouverture. Pas possible de créer une sortie de secours sur une autre façade. Je voudrais savoir qu’elles sont les normes appropriées à mon bâtiment concernant la sécurité incendie et plus particulièrement les évacuations.

Nous rénovons un établissement à Lyon. Le 1er étage destiné à accueillir également du public à une hauteur sous plafond de 1,85m actuellement. Nous allons tomber le plafond afin d’arriver aux briquettes et poutre (que nous avons pu apercevoir). 1) existe-t-il une hauteur minimum à avoir ? 2) sommes-nous obligés de mettre un plafond coupe-feu, sachant que nous pourrions en mettre un en rdc, mais qu’il y a des (bureaux ou appartements) au-dessus de nous ?

Notre bureau de contrôle et la direction des services techniques de l’établissement d’enseignement (R 2) où je travaille ont une divergence d’interprétation entre le CO 54 et le CO 53 (§§2 et 3). Le bureau de contrôle nous demande une porte PF°1/2h sur l’accès de la cage d’escalier à l’air libre sous prétexte d’éviter le passage du feu depuis l’intérieur du bâtiment vers l’escalier. Ma direction des services techniques ne veut pas installer de porte PF°1/2h car ce n’est pas fondé.